Mystra

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In the early 15th century, when Constantinople was under threat from the advancing Ottoman Turks, many Greek intellectuals, monks and artists fled the Byzantine capital and went to Mystra (or Mystras) in the southern Peloponnese near Sparta. Eventually these same Byzantine Greeks fled to Italy to escape the Ottamans. With them, came many ancient documents, books and manuscripts. Historians think that the arrival of these Byzantine Greeks in Italy helped to kick-start the Renaissance in Europe.

Apparently the Turks did not destroy the city of Mystra, which was left to later warring factions. Despite the general destruction houses, streets, warehouses etc, several Byzantine churches were left mostly intact, wall paintings included.

Au premier quart du 15e siècle, les Ottomans menaçaient Constantinople et la survie même de l’empire Byzantine. Devant le danger, nombre de moines, d’intellectuels et d’artistes ont fui vers la cité de Mystra près de Sparta au sud du Peloponnèse. La cité est devenue un centre intellectuel important pendant un temps. Mais malgré la distance de Constantinople, la position fortifiée de la cité, on n’était pas en sécurité devant l’avancée des Ottomans. Ces mêmes ont donc fui à nouveau vers l’Italie, apportant avec eux la culture de la Grèce Byzantine, des documents anciens, des connaissances de l’antiquité grecque et des traditions. Leur arrivée en Italie correspondait au regain d’intérêt pour la Grèce classique et aurait été un élément contribuant à la renaissance de l’Occident.

Aujourd’hui, Mystra est en ruines, conséquence non pas de l’occupation Ottomane, mais de guerres plus tardives. Maisons et quartiers d’habitation n’existent plus, mais plusieurs églises Byzantines sont toujours debout, restaurées et resplendissantes y compris avec des parois intérieurs et voutes colorés.