The Republic of Genoa lasted for 8 centuries until 1797. Without a large territory, but with an efficient navy, enterprising bankers and prosperous trading posts, the republic had considerable influence in the Mediterranean world. The period of the biennial doges from 1528 saw the domination of the so-called ‘patrician’ families. Between the Grimaldis, the Spinosas, the Dorias and the Durazzos, the city was ruled by an oligarchy. It was a republic in name only – at least according to the connotation of the word for 21st century Europeans.
With their wealth and power, they built palaces that still stand today. Some are museums, others are hotels or public administrations buildings. And in these palaces they loved to paint the ceilings with elaborate scenes. The few poorly framed photos here bear witness to this. After a visit to these palaces you will have a stiff neck.
Wanting to know more about this painting passion, I discovered that there are limited historical resources in English. Non so perché. Time to learn more Italian…
La république de Gênes a vécu 8 siècles jusqu’à 1797. Sans territoire étendu, mais avec une marine efficace, des banquiers entreprenants et des comptoirs de commerce prospères, la république a eu une grande influence dans le monde méditerranéen. La période des doges biennaux (il n’y avait pas que Venise qui avait des doges) à partir de 1528 a vu la domination des familles dites “patriciennes”. Entre les Grimaldi, les Spinosa, les Doria, les Durazzo la cité était tenue par une oligarchie. C’était une république de nom seulement – du moins selon la connotation de ce mot pour les Européens du 21 siècle.
Avec richesses et pouvoirs on a bâti les palais qui existent encore. Certains sont des muses, d’autres sont des hôtels ou des administrations. Et dans ces palais on adorait les plafonds peints. Témoignage dans les quelques photos mal cadrées ici.
Curieusement, alors que la littérature en langue française est bien fourni au sujet de Venise, peu de textes détaillés existent sur Gênes. Non so perché.